CÉLINE
CÉLINE Comment croire que tant de génieCachait une si grande haineLe visage de l’ignominieL’horreur à figure inhumaineQue derrière la petite musiqueLa révolution littéraireCouvait l’exaltation cyniqueAux pestilences pamphlétaires Les mots nous soulèvent le cœurDe bagatelles dégueulassesDe cadavres en puanteurDe beaux draps étalant leur crasseSerait-ce là toute la gloireDu maudit et du mal-aiméQui réussit contre l’histoireÀ nous …