QUEL BASTRINGUE !
QUEL BASTRINGUE ! Les souvenirs fanent, c’est bien pour ça qu’on en replanteComme des ânes en demeurant là dans l’attenteL’attente est longue, c’est pour ça qu’il y a des pendulesQu’on se ronge les ongles, qu’on n’avance pas ou qu’on recule Les années passent, c’est pour ça qu’y a des cimetièresC’est dégueulasse, mais faut bien remuer …