AUTANT EN EMPORTENT LES VIOLONS
Tu es si près de moi mais on ne se voit jamais
Je me demande parfois… m’as-tu vraiment aimé
Entre nous deux s’installent de pénibles moments
Une distance fatale, un désenchantement
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons
Tu vis tout près de moi mais tu as l’air si absent
J’ai de plus en plus froid, tu me glaces le sang
Un démon a ouvert ses grandes ailes noires
Il est venu l’hiver au ciel de notre histoire
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons
Je suis tout contre toi mais tu es déjà ailleurs
Je n’entends plus en moi les battements de ton cœur
J’ai perdu ma gaieté et ma rage de vivre
Je n’ai jamais été si près de la dérive
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons.
Paroles : Brindille – Musique : Jean-Pierre Stora